Dubaï, Émirats arabes unis, 21 mai 2025 – Blackalgo, entreprise spécialisée dans le trading algorithmique et fondée en 2005 aux États-Unis, annonce le lancement de sa plateforme crypto basée sur l’intelligence artificielle. Après s’être attaquée aux marchés traditionnels, la société s’est tournée dès 2017 vers les crypto-monnaies et opère désormais à Dubaï sous licence propriétaire délivrée par la Virtual Assets Regulatory Authority (VARA). Blackalgo engage uniquement ses propres fonds sur ces marchés et propose aussi des outils non conservateurs pour les utilisateurs souhaitant garder un contrôle total sur leurs actifs. La sécurité et la transparence sont érigées ici comme fondations essentielles du projet.

À l’origine, Blackalgo s’est concentrée sur le forex automatisé et d’autres stratégies classiques avant de s’ouvrir progressivement au Bitcoin et aux altcoins en 2017. Le déménagement à Dubaï visait à placer l’activité sous la coupe réglementaire de VARA, autorité chargée de contrôler les entreprises négociant leurs propres capitaux dans l’écosystème digital – de quoi rassurer les investisseurs, selon l’entreprise. Depuis l’obtention de sa licence, des règles internes strictes sont de mise dans la boîte.

La nouvelle plateforme de Blackalgo mise tout sur le trading automatisé, boosté à l’IA : l’algorithme scrute sans arrêt les données de marché, détecte les tendances et exécute des ordres, tout ça sans intervention humaine. Les utilisateurs peuvent connecter en sécurité leurs comptes (Binance, Bybit, IC Markets, Pepperstone ou MT4) via API. La force du modèle, c’est qu’il reste non conservateur : Blackalgo ne possède jamais les fonds de ses clients. L’argent reste sur le compte perso de l’investisseur ; Blackalgo se contente de placer les ordres, pas de toucher aux retraits.

« Notre mission a toujours été l’innovation, la sécurité et l’autonomie des utilisateurs. Détenir une licence propriétaire atteste notre fiabilité, tandis que laisser la maîtrise des fonds à nos clients renforce la confiance », affirme Olivier Becquet, fondateur de Blackalgo.

La société affiche un track record audité depuis septembre 2018, avec en moyenne 6% de rendement mensuel ces dernières années. Forcément, ce sont des performances passées et aucune garantie pour l’avenir. Les marchés changent, les stratégies évoluent et l’algorithme aussi. Côté gestion du risque – et vu la volatilité du crypto – Blackalgo a mis en place des stops, des limites et des dispositifs censés protéger le capital en cas de tempête. On en reparlera si la prochaine vague rouge arrive…

Tout ce bazar fonctionne avec chiffrement AES-256 pour sécuriser API et données sensibles. L’authentification multifactorielle est de la partie, et la société annonce aussi pratiquer des tests de pénétration et des audits réguliers. Sous la licence VARA, Blackalgo doit en permanence prouver la légalité de ses opérations et la résistance de ses infrastructures. « On veut que nos clients se sentent en confiance », explique Becquet. La société investit donc son propre argent, partage ses stratégies à qui veut suivre, mais ne touche au cash de personne.

Le lancement de la plateforme se fera progressivement, avec une inscription sur liste d’attente pour les plus pressés. Pour ceux qui veulent la puissance de l’IA sans sacrifier le contrôle de leurs fonds, le projet promet à la fois innovation, sécurité et autonomie. Reste à voir si la promesse se concrétise face au chaos des marchés crypto.

Blackalgo existe depuis 2005, spécialisée dans le trading propriétaire, l’automatisation et l’IA. Basée à Dubaï, régulée par VARA, elle met en avant adaptabilité et gestion du risque dans le cirque permanent des crypto-marchés. Sa structure non-conservatrice est censée renforcer la confiance… sur le papier du moins.

Bon, soyons clairs : à chaque nouveau « algo trading IA » sur la crypto, on dirait que le marketing tourne au copier-coller genre « on est les premiers à tout sécuriser, transparence et liberté bla bla bla ». Sauf que balancer « sécurité » et « transparence » partout ne prévient pas la prochaine liquidation massive en cas de dump surprise. Et 6% de rendement mensuel en moyenne depuis 2018, c’est mignon, mais les stats passées, ça fait surtout bien sur les slides. La non-conservation des fonds ? Ok, au moins ils ne peuvent pas tout piquer d’un coup, mais si l’algo déconne et crame le capital, ça changera rien côté résultat 💸. L’enrobage réglementaire à Dubaï sous VARA, c’est sûrement mieux que rien, mais ça vaut ce que ça vaut – la vraie confiance, elle ne s’achète pas avec un PDF de licence. Si t’aimes l’IA, l’automatisation et que tu crois que les robots vont te rendre riche sans prise de tête, vas-y. Mais arrête de rêver, garde les yeux ouverts et ton doigt prêt sur le bouton off si ça part en vrille 🤖💥.

Tu veux de l’innovation ? Ok. Mais le contrôle, c’est avant tout de ne pas déléguer son cerveau à un algo qui, à tout moment, peut faire n’importe quoi – l’histoire de la crypto est là pour te le rappeler.

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